RAPPORT DE VOYAGE

 Compte rendu de Yakhouba Seydi

a préparation de cette excursion était merveilleuse. Concernant la recherche de l’aide, le club avait organisé une quête, lorsqu’on était parti faire la quête on a amené avec nous une sorte de Livre ( le carnet de souscription volontaire) pour montrer notre identité au différents lieux.   

Une chose importante qui nous a permis d’amasser un peu d’argent ; ce qui nous permettait aussi de donner un petit coup de main à nos chers  tontons qui se tracassaient pour réunir la somme nécessaire pour le voyage.

Le jour J le 06 Avril 2004, le départ était prévu pour 7h30 mn, mais malheureusement à cause des problèmes antérieurs nous quitterons Sédhiou à 10h.

De Sédhiou on était arrivé au Carrefour et on y a fait une escale, pour  arriver à Sénoba vers 12h. De sénoba on a pénétré le territoire Gambien jusqu'à Balingor le lieu où on avait rencontré beaucoup de difficultés ; mais heureusement avec l’aide du Préfet ( Mr Diouf, qui allait lui aussi sur Dakar) nous sommes parvenus à traverser. Lorsqu’on avait traversé, nous étions embarqués dans les cars ; Arrivée à FARA  Fénié les policiers du poste nous signalent qu’un des nôtres, une adolescente qui n’avait pas pris le départ avec nous depuis Sédhiou, était restée au niveau du bac. Nous l’avons alors attendue. Après qu’elle nous ait rejoints, nous sommes repartis pour continuer notre caravane. On  fera  une escale à la station de Kaolack là où le chauffeur de Fankanta avait demandé du carburant. En continuant le voyage on avait fait une bifurcation à Diourbel ; et à Thiès le troisième car était arrivée en premier lieu. D’ailleurs nous avons entendu tonton Bob lui signifier cela plusieurs fois, mais il était trop pressé. Et on a attendu à peu prés 1h30 mn, à Thiès, les deux autres cars. Cependant nous en avons profité pour nous promener sur la balade des thiessois. On a pu y faire connaissance avec une étudiante de l’UCAD ( Université Cheikh Anta Diop de Dakar), son nom était EDI NILSON  GOMIS ; mais ses parents résident à Thiès.  On devait prendre une auditrice à Thiès mais malheureusement on n’a pas pu faire le voyage avec elle. Elle nous  rejoindra le lendemain à Dakar. Et alors cap sur Dakar, une fois arrivé   à Dakar  on  va directement

à KEMBEREN pour prendre les matelas. Hélas ! Comme nous sommes arrivés la nuit, 00 H passé de 15 mn, un car va se perdre. Mais  heureusement, comme on avait prévu,  à Sédhiou qu’on allait loger à YMCA , le chauffeur s’est très vite  retrouvé au nouveau site qui devait être à Castors, à l’école IBRAHIMA MAMADOU SECK.

Bref, pour  le retour à Sédhiou, le départ était pris à 7h 00 mn du matin à YMCA.

Mais auparavant on devait d’abord rendre les matelas. Après avoir effectué ce travail , c’était parti pour Sédhiou ! Cependant, avec le Magal de Touba, il y a eu beaucoup d’embouteillage, parce nous sommes rentrés la veille du Magal ( le 08 Avril 2004 ). En plus, avec l’indiscipline de notre chauffeur qui n’avait pas respecté la file des voitures, nous serons arrêtés à hauteur de Pout par un gendarme très intransigeant sur la question. Ce chauffeur là, il nous a fait perdre beaucoup de temps.

Et ce n’était pas encore fini, puisqu’on fera une autre escale à Thiès pour les problèmes de nos ventres ( déjeuner). Après Thiès, l’autre arrêt sera pour Kaolack ; mais là c’était pour distribuer des oranges. Il y’aura un autre arrêt, cette fois-ci obligatoire car on arrivait en territoire Gambien. Il fallait montrer les pièces d’identité, et passer à la douane. Mais cette fois on n’ a pas tué beaucoup de temps au Bac et ce sera maintenant directement pour Sédhiou.

Une fois à l’entrée de Sédhiou tout le monde ayant déjà la nostalgie de son cher PAKAW, les chansons vont s’enchaîner comme nous l’avions fait au départ à  la préfecture. Par la grâce de Dieu nous sommes retournés à la préfecture, très joyeux, en bonne santé.

Le voyage Casamance – Dakar est un voyage long ; mais c’était une belle aventure pour nous auditeurs de la CLE de visiter les lieux importants de Dakar et de Gorée.

 Pour le groupe 2 des « Ado »

Par Yakhouba Seydi